Quelles sont les médecines douces ?
La médecine alternative a gagné en popularité ces dernières années et de nouveaux domaines sont régulièrement explorés. Parmi les médecines douces les plus connues, on retrouve par exemple :
Les médecines traditionnelles : qui regroupent les savoirs anciens de la médecine chinoise, de la médecine vietnamienne, de la médecine coréenne…
L’ostéopathie : parfois confondue avec la kinésithérapie, l’ostéopathie consiste en des manipulations manuelles du corps pour soulager des troubles et douleurs musculaires et squelettiques.
Les soins utilisant l’eau sous différentes formes (eau minérale, eau salée…) : la thalassothérapie, la balnéothérapie, le thermalisme…
L’acupuncture, qui utilise des aiguilles plantées dans certains endroits du corps.
L’homéopathie : traitement où l’on utilise une quantité infime d’un médicament qui à dose normale provoque des effets similaires à la maladie que l’on cherche à traiter.
La lithothérapie : utilisation des minéraux, roches ou cristaux à des fins thérapeutiques.
La luminothérapie, qui expose à la lumière à différentes intensités.
La magnétothérapie, qui utilise pour sa part les aimants.
La méditation : représentation mentale utilisée pour se relaxer, se concentrer sur ses objectifs.
Quelle différence entre la médecine alternative et la médecine conventionnelle ?
Ces 2 domaines peuvent tous deux cohabiter et la médecine alternative peut être utilisée parallèlement à la médecine conventionnelle. Attention, cela ne signifie pas forcément que 2 traitements simultanés sont compatibles (nous y reviendrons plus bas).
La médecine conventionnelle possède ses diplômes reconnus, ses autorisations d’exercer, ses organismes de contrôle (comme l’ordre des médecins par exemple)… En résumé, ces professionnels peuvent légalement prescrire des traitements et des médicaments, et dans certains cas pratiquer des opérations chirurgicales.
La médecine douce de son côté utilise des approches et des traitements qui n’ont pas été scientifiquement prouvés. Cependant, certaines pratiques comme la méditation pour lutter contre le stress représentent peu de risque lorsqu’elles sont effectuées correctement.
Les précautions à prendre en cas de recours à la médecine douce
Vouloir prendre soin de son bien-être physique et mental c’est bien, mais encore faut-il faire appel à des professionnels de santé formés, qualifiés et autorisés par l’État.
De nombreux traitements, s’ils sont utilisés de manière incorrecte, peuvent provoquer des effets secondaires indésirables. Pour éviter les mauvaises interactions, vous devez toujours en parler à votre médecin traitant avant de commencer une thérapie, qu’elle soit issue de la médecine conventionnelle ou de la médecine douce.
Quand recourir à la médecine douce ?
Alors, quand utiliser la médecine alternative ?
Notamment, en cas de douleurs chroniques comme le mal de dos, et si les traitements conventionnels ne règlent pas le problème, vous pourriez peut-être envisager certaines thérapies alternatives (chiropraxie, massages…).
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